PRÉSENTATION

Considérer et désirer  viennent tous deux étymologiquement du corps céleste. L’un regarde les étoiles, et l’autre, une étoile lui manque. Je considère le désir plus que tout, je vis pour lui, pour le combler et le désirer ; le faire désirer. Vivre au réel.

Ce qu’il y a de politique, ce qu’il y a de désir, ce qu’il y a de poésie.

Les choses qui m’entourent, parce que je le désire, sont une poétique liée, paradoxalement, à la sémantique, à la philosophie, à l’anthropologie. Lier, considérer, pour moi, ne sont pas science, dans ce désir de savoir pour montrer, mais plutôt religion dans le désir de lier et considérer sa vie comme unité avec une idée de liberté et de joie. Chaque chose a
son langage ; il ne s’agit pas de négliger tel ou tel idiome mais d’y montrer la chose sensible à l’intérieur d’une chose dont la préconscience globale la sature d’insensibilité.

Pouvons nous porter notre œil, littéralement, et considérer en même temps depuis l’intérieur de notre psychisme, vers notre main, une forme
canonique de la réalité ?

ÉCOLE D’ART REPRÉSENTÉE

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